En 2016, les 113 instituts universitaires de technologie (IUT) français fêtent leur cinquantième anniversaire. Les cinq établissements alsaciens de Colmar, Illkirch, Haguenau, Mulhouse et Schiltigheim forment 5 000 étudiants. Entretien avec Bernard Fabre, président de l’Association régionale des IUT d’Alsace (Ariut) et directeur de l’IUT de Colmar.
Quel bilan tirez-vous des premières décennies d’existence des IUT alsaciens ?
Ce qui nous distingue des autres régions, c’est d’abord la très forte professionnalisation de nos étudiants : 20 % d’entre eux sont des apprentis. C’est plus que dans les IUT de Lorraine et de Champagne-Ardenne réunis.
La professionnalisation des étudiants était justement un des objectifs de la création des IUT. Cela fonctionne-t-il ?
Nos diplômes sont reconnus et plébiscités par les professionnels. En même temps, seulement 20 % de nos étudiants s’insèrent directement après le DUT. Les autres poursuivent au minimum jusqu’à la licence et très souvent jusqu’au master ou aux diplômes des écoles d’ingénieur ou de commerce. Le thème des Assises de la professionnalisation, que nous organisons le 26 avril, à l’IUT de Schiltigheim, portera justement sur la formation des cadres intermédiaires et de leur employabilité.
Justement, les objectifs d’employabilité formulés pour la création des IUT ont-ils été atteints ?
Oui, sauf que la plupart de nos diplômés s’insèrent professionnellement à l’issue d’une formation complémentaire bac + 3 ou bac + 5. Pour autant, je suis persuadé que leur parcours en IUT leur apporte une vision professionnalisante, qui les aide dans la recherche de leur futur emploi.
Le profil de vos étudiants a-t-il changé au fil des ans ?
Au début, la majorité des étudiants en IUT provenaient des filières générales du bac, notamment des scientifiques. Aujourd’hui, les bacheliers technologiques représentent 25 % de nos effectifs. Pour 2017, le rectorat a fixé un objectif de 30 %. Notre principale difficulté porte sur le recrutement de bacheliers issus de bacs technologiques industriels, par manque d’un vivier suffisant. Cela nécessite aussi de faire évoluer nos méthodes d’enseignement vers des pédagogies inversées ou par projet.
À quoi sert l’Ariut ?
L’association nous permet de mener des projets qu’un seul IUT ne pourrait porter seul. C’est le cas de la convention que nous avons signée avec le rectorat, pour justement faire venir les jeunes des bacs technologiques dans nos filières : elle permettra de former à cette problématique les conseillers d’orientation, ainsi que les enseignants du second degré. Grâce à l’Ariut, nous pouvons aussi nous présenter ensemble quand nous intervenons dans les lycées. C’est beaucoup plus porteur pour notre lisibilité. Nous organisons aussi le trophée Ellipse, qui récompense le parcours remarquable d’étudiants de nos cinq IUT.
Comment vous sentez-vous intégrés au contrat de site ?
Nous y sommes totalement intégrés. Par exemple, nous contribuons pleinement à sa dimension internationale, grâce à nos formations bi ou tri nationales. Nous proposons ainsi quatre formations tri nationales, qui permettent à nos étudiants d’obtenir en sept semestres, équitablement répartis entre la France, l’Allemagne et la Suisse, un DUT, une licence universitaire, un bachelor allemand et un bachelor suisse.
Que va devenir l’Ariut à l’heure de la grande région ?
Nous allons prochainement nous réunir avec nos homologues de Lorraine et Champagne-Ardenne. Faut-il faire une Ariut à quinze IUT ? Je ne le sais pas encore. Mais nous devons exister auprès de la nouvelle instance régionale.
Propos recueillis par Jean de Miscault
Au second semestre de l’année 2015-2016, le calendrier des ateliers du Centre de culture numérique (CCN) de l'Université de Strasbourg s’étoffe encore, pour vous proposer de nouvelles rencontres.
Speedpainting, initiation au JavaScript, au PHP ou au référencement, e-marketing : plusieurs fois par mois, sur l'heure de midi ou le soir, le CCN met son matériel et la salle de formation de l'Atrium à la disposition des personnes désirant s'initier aux arcanes du numérique. Des ateliers spécifiques de perfectionnement, nécessitant souvent des connaissances de base en informatique, sont aussi proposés. Ces séances sont gratuites et ouvertes à tous. Il suffit de s’y inscrire à partir de l’agenda du CCN (régulièrement mis à jour, n'hésitez pas à le consulter pour vous informer des dates des prochaines formations) et celui du portail Unistra. Nouveauté à noter au second semestre : des séances "bacs à sable" hebdomadaires de création 3D.
Pour faire suite aux prix d’excellence attribués à six formations1 de l’université en décembre, L’Actu entame une série pour présenter ces cursus. Ce numéro met l’accent sur le master Biologie et valorisation des plantes et le diplôme d’État de docteur en pharmacie, distingués pour la qualité de leur insertion professionnelle2.
Le master Biologie et valorisation des plantes (BVP) propose, à travers trois parcours, une formation qui explore toutes les facettes de la biologie végétale (biologie moléculaire-biotechnologies, phytochimie et écologie). « Ces trois mondes sont différents mais complémentaires. Cela implique une grande diversité de débouchés et de métiers », explique François Bernier, responsable du master. « Que nos étudiants soient le mieux armés possible à la sortie du master, c’est ce à quoi nous aspirons », confie Laurence Gondet, maître de conférences à la Faculté des sciences de la vie. C’est la raison pour laquelle l’équipe pédagogique du master BVP a répondu à l’appel à projets de l’Idex. Pour favoriser l’insertion professionnelle des étudiants du master, la formation permet de réaliser, en semestre 4, des stages en France ou à l’étranger, dans le milieu académique ou l’industrie.
Depuis la rentrée 2014, les étudiants du master BVP peuvent aussi bénéficier du programme Végé-LAB3, qui les met en contact direct avec des laboratoires de recherche privés et publics, avec lesquels ils travaillent pendant trois semestres à la mise en place d’un projet de recherche innovant. Végé-LAB participe au décloisonnement multiple sur lequel travaille l’équipe pédagogique : entre les disciplines, entre les étudiants de différents parcours, à différents stades de leur master, entre enseignants-chercheurs et étudiants, entre enseignement et recherche, et entre l’Université de Strasbourg et les partenaires académiques et industriels. « Dans cet esprit, le prix de 16 600 € nous permettra de financer les rencontres entre les étudiants et les partenaires, l’inscription d’étudiants à des colloques, mais aussi d’équiper une salle de travail pour les étudiants », confie François Bernier.
Les études en vue du diplôme d’État de docteur en pharmacie sont en adéquation avec les besoins du milieu professionnel. Elles se composent de trois cycles : le diplôme de formation générale en sciences pharmaceutiques (trois ans), le diplôme de formation approfondie en sciences pharmaceutiques (deux ans) et un troisième cycle d’un an (cycle court) ou de quatre ans (cycle long pour les étudiants reçus au concours de l’internat). La formation est jalonnée de stages en officine de la 2e à la 4e années. En 5e année, les étudiants font des stages de six mois en milieu hospitalier ou de quatre à six mois en industrie ou en laboratoire de recherche (filière industrie). En 6e année, les étudiants de la filière officine terminent par un stage de six mois en officine ; les étudiants de la filière industrie-recherche suivent, en double diplôme, un parcours de master Sciences du médicament, dont cinq spécialités sur sept sont ouvertes en apprentissage.
Depuis la rentrée 2015, quatre étudiants du parcours industrie-recherche peuvent intégrer la 2e année du cursus d’ingénieur dispensé par l’École supérieure de biotechnologie (ESBS) et l’École de chimie, polymères et matériaux (ECPM) pour préparer un double diplôme de docteur en pharmacie-ingénieur.
Pour toutes ces initiatives en faveur de l’insertion professionnelle, la Faculté de pharmacie a été récompensée par un prix d’excellence. « Ce genre d’appels à projets est une belle opportunité pour insuffler à notre composante une dynamique qui permet de souder l’équipe pédagogique. Nous aimerions organiser avec l’Institut de développement et d’innovation pédagogiques (Idip) un séminaire de deux jours hors les murs, dans le but de développer l’esprit d’équipe. Ceci est un gage pour l’amélioration continue de la formation de nos étudiants », conclut Jean-Pierre Gies, le doyen de la faculté.
Floriane Andrey
1 Dans le cadre de l’Initiative d’excellence du programme Investissements d’avenir. 2 Les quatre autres formations seront présentées dans les deux prochains numéros du journal. 3 Initié par François Bernier, Laurence Gondet et Pascaline Ullmann et financé par l’Idex « Parcours d’excellence ».Vendredi 22 janvier, la Direction informatique (DI) conviait à l’amphithéâtre de l'Isis les informaticiens des composantes et laboratoires pour une réunion d'information consacrée au projet Infoprox*. Ce chantier, sans doute l'un des plus importants pour la DI en 2016, n'est pas tant technique qu'organisationnel. Il consiste à repenser le mode de fonctionnement de l'informatique de proximité.
Historiquement, les prérogatives informatiques à l'université sont réparties entre la DI, au niveau central, et les équipes informatiques des différentes structures (composantes, laboratoires de recherche, etc.) au niveau local. Avec le projet Infoprox, la DI souhaite clarifier les périmètres d'intervention de chacun, permettre une meilleure identification des interlocuteurs par les usagers et favoriser un certain nombre de bonnes pratiques.
Le constat de départ qui a prévalu à ce projet est double : d'une part, la qualité de traitement des demandes des usagers est inégale selon qu'un informaticien est présent localement ou non ; d'autre part, comme le dit Emmanuelle Hautin, « on s'est rendu compte qu'on a peut-être trop centralisé les choses et qu'il faut revenir à une informatique de proximité ».
Un référentiel comme dénominateur commun
Lancé au printemps 2015, ce projet a débuté par la consultation d'une dizaine de composantes et instances. Parallèlement, de nombreux ateliers se sont déroulés pour élaborer un référentiel qui servira de dénominateur commun pour les actions de tous les informaticiens œuvrant pour l'établissement, quel que soit leur rattachement.
Un projet d’une telle ampleur, aux nombreuses répercussions en matière d'organisation et de mode de fonctionnement au quotidien, ne se fera pas en un jour. La rédaction du référentiel est avancée à 70 %. Ce document sera amélioré et complété lors de prochains ateliers. Il bénéficiera également des retours d'expérience lors de sa mise en application sur le campus d'Illkirch durant l’année 2016.
Pour favoriser l'adhésion de tous, l'accent est mis sur le travail en bonne intelligence. Comme l'indique Guillhem Borghesi : « C'est une sorte de contrat de confiance. Le projet se fera en discutant avec les informaticiens de proximité et en établissant des plans d'action car il n'est pas possible de tout faire du jour au lendemain ». Le déploiement se fera progressivement, par site géographique au cours des deux à trois années à venir.
L'autre sujet de préoccupation récurrent concerne les moyens financiers et humains qui seront alloués pour mettre en place cette réforme. Mais Frédéric Dehan, directeur général des services de l’université, se veut rassurant : « C'est un projet majeur car l'informatique est une nécessité de tous les jours comme l'eau, le gaz et l'électricité. Nous avons désormais la possibilité financière d'investir en fonds propre via un plan d'investissement glissant sur deux ans, doté de 6 millions d'euros, dont une quote-part pour l’informatique. Nous y aurons recours car c'est extrêmement important pour le fonctionnement de l'université et le service rendu aux usagers. Il n'est plus envisageable que des crédits qui sont là pour faire de la science servent à financer des équipements informatiques ». Infoprox bénéficie également d'un financement Idex.
Pour la réussite de ce type de projet, la communication et l'écoute sont essentiels. Principes qui ont été mis en application dès la fin de la réunion, avec un moment convivial autour de la galette des rois. Une manière de retisser des liens au sein de la communauté informatique universitaire.
Edern Appéré
* Emmanuelle Hautin, directrice de la Direction informatique, animait cette réunion, accompagnée de quatre porteurs de projets thématiques : Guillhem Borghesi pour la sécurité du système d'information, Pascal Gris en matière de réseau, Olivier Raunet sur le poste de travail et l'assistance, et Sylvie Lopez pour les applications et logiciels. Étaient également présents Frédéric Dehan, directeur général des services, et Jean-Luc Orcesi, responsable informatique de la direction régionale du CNRS, structure impliquée dans le projet du fait de l'existence de nombreux locaux communs et unités de recherche mixtes.
Savez-vous ce que signifient exactement les cinq lettres de l’acronyme « Spacs » ? Non ? Comme 97 % des personnes interrogées à l’université ! Pourtant, 88 % connaissent son existence et la moitié savent même où se trouvent ses bureaux… Pendant un an et demi, le Service pour la promotion de l’action sociale (Spacs) a mené l’enquête auprès des personnels pour déterminer le degré de connaissance de son offre de service, mais aussi les souhaits de ses (potentiels) usagers.
« Attention, prévient d’emblée Michel Koebel, à ne pas confondre Suac et Spacs (encore moins Suaps -Service universitaire des activités physiques et sportives) ! « Alors que le premier (Service universitaire d’action culturelle) est destiné aux étudiant-e-s, le second s’adresse exclusivement au personnel. Au départ, sa principale mission était d’organiser tout un volet d’activités culturelles, sportives et de loisirs à tarif attractif. Aujourd’hui, une seconde mission d’importance du Spacs est d’apporter des aides financière et sociale aux plus en difficulté parmi les personnels de l’Unistra.
Plutôt que jouer avec les mots, Michel Koebel manie plutôt les concepts et les chiffres : sociologue au sein de la Faculté des sciences du sport, c’est lui qui a l’idée de lancer cette enquête, à travers son mandat d’élu au conseil du Spacs. L’ambition, partagée par ce dernier, était de réétudier l’offre du service de la rue Goethe en donnant la parole au personnel, pour lui offrir un nouveau souffle. 240 personnes ont été interrogées, tirées au sort selon trois critères : sexe, catégorie (C, B ou A), statut d’usager ou non du Spacs.
21 % d’usagers parmi le personnel en 2014
Que ressort-il de cette enquête de longue haleine, menée par des membres du conseil du Spacs et une doctorante en sociologie ? « Que ce sont les activités sportives (81 %) et les voyages (44 %) qui sont les plus connues. Les visites ou les aides financières, en revanche, le sont moins. Parmi les activités sportives : fitness, yoga, détente… Les fêtes ponctuelles, chasse aux œufs et Noël, font également partie des activités les plus prisées. Conséquence : les femmes sont plus nombreuses que les hommes à en bénéficier. Billetterie et Chèques lire arrivent en troisième position.
« Le niveau de diplôme, correspondant peu ou prou à la catégorie professionnelle, a aussi été un critère intéressant à prendre en compte », poursuit Michel Koebel. L’enquête révèle ainsi que si le personnel de l’université est constitué en grande majorité de catégories A (70 %), ce sont les catégories B qui sont, proportionnellement, les plus représentés parmi les usagers du Spacs. Si l’attrait pour les voyages reste fort, « leur prix introduit un biais important entre catégories » : les voyages les plus chers (2 000 €), sont prisés par les catégories A, qui sont toutefois les plus nombreux à évoquer la volonté de « ne pas partir en vacances entre collègues » pour expliquer leur non-participation. Parmi les catégories C, ce sont les formules court séjour dans des grandes villes européennes (400 €) qui remportent le plus franc succès : « Il y a sans doute quelque chose à imaginer sur ce point, commence Michel Koebel. Puisque le but du Spacs est de rendre les loisirs accessibles au plus grand nombre, et en particulier à ceux qui ont le moins de moyens financiers, il faudra sans doute penser à développer des formules adaptées ». Certains membres du bureau du Spacs ont d’ailleurs déjà pris les devants, en proposant une journée complète à Amsterdam avec trajet de nuit en bus à 30 € environ.
De nouvelles activités à l'étude
D’ailleurs, les personnes interrogées ne s’y sont pas trompées : 30 % ont exprimé des souhaits de nouvelles activités ou d’améliorations de l’existant, avec, entre autres exemples : le développement de permanences délocalisées pour les plus éloignés du campus central, des randonnées, des sports de plein-air, des balades à vélo en groupe, des cours de cuisine, des visites-découverte de Strasbourg, des aides financières aux voyages d’initiative personnelle...
Patrick Vuillez, directeur du service, compte désormais mobiliser le conseil du Spacs pour se saisir de ces résultats lors du séminaire annuel de fin d’année, afin d’offrir « un nouvel élan au service, et que des propositions d’actions soient mises sur la table ». En effet, l’enquête ne comprenait pas de versant « préconisations », laissées à l’initiative des membres du conseil qui ont pris part à l’ensemble de la démarche.
Quand on sait que seulement 21 % des personnels de l’université ont participé aux activités du Spacs en 2014 (1 188 ouvrants droit), la marge de progression est importante. N’oublions cependant pas que le nombre réel de participants est bien plus important : 2 257 au total, en prenant en compte les ayants droit, les retraités et les personnels des organismes de recherche.
Elsa Collobert
Après la Journée mondiale de lutte contre le sida du 1er décembre, le Sumps poursuit son action en faveur de l’information sur le dépistage et la contraception : les Cafés love, mercredi 10 et jeudi 11 février, sont l’occasion de rencontrer des responsables du service de prévention et de leurs poser toutes vos questions.
Le Service universitaire de médecine préventive et de promotion de la santé (Sumps)* sort de nouveau de ses bureaux de la rue de Palerme pour venir à la rencontre de ses usagers : avec le Café love, temps d’échanges proposé mercredi 10 février, de 11 h 30 à 14 h, au restaurant universitaire Paul-Appell, et le lendemain, au même horaire, au restaurant universitaire de l’Esplanade. Venez poser toutes vos questions autour de la sexualité, du dépistage, de la contraception… Un moment de convivialité, déclinant jeux, stand d’information et de prévention, où l’on vous accueille dans la bonne humeur. En plus, le café est offert par les restaurants universitaires Paul-Appell et Esplanade : plus de raison d’hésiter !
* Avec Sida info service, SOS Hépatites et la MGEL. Février | Mars | |
---|---|---|
<strong>Conseil académique</strong> 14 h - Mardi | 2 | / |
<strong>Congrès</strong> 14 h 30 - Mardi | / | / |
<strong>Conseil d'administration - CA</strong> 14 h - Mardi | / | 1-29 |
<strong>Commission de la formation et de la vie universitaire - CFVU (ex-Cévu)</strong> 14 h - Mardi | 9 | 22 |
<strong>Commission de la recherche - CR (ex-CS)</strong> 14 h 30 - Mercredi | / | 16 |
<strong>Conférence des directeurs de composantes</strong> 14 h 30 - Mardi | / | 8 |
<strong>Conférence des directeurs des unités de recherche</strong> 10 h - Vendredi | 5 | / |
<strong>Réunion des responsables administratifs de composantes et des chefs de services centraux</strong> 9 h - Lundi | / | 7 |
<strong>Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail</strong> 8 h 30 - Jeudi | / | 24 |
<strong>Comité technique d'établissement</strong> 9 h - Jeudi | 25 | / |
Envoyez votre info à medias@unistra.fr avant le mardi 23 février midi pour une parution le vendredi 26 février 2016. Consultez les dates des prochains numéros.